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mécanique de la causalité
--> l'influence et le choix
Je suis très attaché à la notion de causalité et au constat
scientifique : « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ».
C'est-à-dire que peu importe ce qu’il se passe, un moment donné est la conséquence d’une cause mais aussi la cause d’une conséquence.
Grâce à mes expériences passés ou présentes que l’on considérera comme des causes, j’aurai par exemple la capacité de faire une déduction qui de par son existence provoquera des conséquences au moment présent et à l’avenir.
Je me trouve ainsi centre névralgique de toute l’existence de par mes choix qui eux même victimes d’une infinité de causes ne font de moi qu’une poussière insignifiante.
Peut-on alors choisir notre rôle dans ce paradoxe ?
Si on prend pour exemple l’histoire d’un être humain lambda, de par mon expérience personnelle, je comprends qu’à l’état de nourrisson, la conscience du petit enfant ne sera que très peu développée, ainsi il ne sera pas capable de faire de choix réfléchis ni pour lui, ni pour son environnement, ce dernier se chargeant de cette tâche de manière influente à la place de l’enfant.
L’enfant grandissant sera confronté à toutes sortes de singularités subjectives de par leurs natures personnelles, qui éveilleront une multitude de phénomènes psychiques stimulant ainsi sa compréhension et enrichissant par la même occasion sa conscience.
En conséquence de ses expériences personnelles, l’être humain acquiert alors la capacité de raisonnement et de choix influant sa personne et son environnement.
Ainsi, il est possible d’avoir plus d’influence de par notre compréhension de l’existence et nos choix au lieu d’être influencé par notre environnement de par notre ignorance, nos indécisions ou notre soumission en opposition au courage et à la volonté qu’il faut pour combattre certaines influences.
Y a-t-il donc une limite à l’influence que peut avoir un être humain ?
Même si l’être humain a le choix, parfois il ne choisit pas ne serait-ce que de par les limites physiques de son corps ou de par son vécu qu’il n’aura pas forcément eu la possibilité de choisir, et c’est donc qu’une conscience supérieure et donc plus influente que la sienne aura choisi à sa place.
Ainsi, cette conscience supérieur deviendra en soi comme une singularité que l’être humain devra tenter de comprendre pour ainsi faire évoluer sa propre conscience et regagner sa capacité à avoir des choix influents pour sa personne et son environnement, ce qui revient à dire que l’être humain devra comprendre la logique derrière les aléas de sa vie pour ensuite choisir par exemple de les éviter ou non.
En conséquence, l’être humain aura toujours une compréhension et donc une influence limitée par les conséquences de celle-ci, d’où la faillibilité de l’homme car la justice existentiel n’agira pas en fonction de valeurs ou d’une certaine morale mais dans un souci d’équilibre.
Ainsi l’être humain ne peut choisir qu’entre deux solutions, l’une étant de se conformer à une certaine harmonie avec la causalité pour ne pas dire sa propre vie*, l’autre étant d’aller à son encontre.
Mais peut-on vraiment considérer la causalité comme une conscience ou une volonté ?
Oui, pourquoi devrait-on considérer le corps humain ou le cerveau humain autrement que mécaniquement ?
*ce qui ne veut pas dire être en harmonie avec notre société moderne, je tiens à le préciser.
edit: et la réponse est 42. lol
edit2:
« rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transmet » est plus adéquate.
C'est-à-dire que peu importe ce qu’il se passe, un moment donné est la conséquence d’une cause mais aussi la cause d’une conséquence.
Grâce à mes expériences passés ou présentes que l’on considérera comme des causes, j’aurai par exemple la capacité de faire une déduction qui de par son existence provoquera des conséquences au moment présent et à l’avenir.
Je me trouve ainsi centre névralgique de toute l’existence de par mes choix qui eux même victimes d’une infinité de causes ne font de moi qu’une poussière insignifiante.
Peut-on alors choisir notre rôle dans ce paradoxe ?
Si on prend pour exemple l’histoire d’un être humain lambda, de par mon expérience personnelle, je comprends qu’à l’état de nourrisson, la conscience du petit enfant ne sera que très peu développée, ainsi il ne sera pas capable de faire de choix réfléchis ni pour lui, ni pour son environnement, ce dernier se chargeant de cette tâche de manière influente à la place de l’enfant.
L’enfant grandissant sera confronté à toutes sortes de singularités subjectives de par leurs natures personnelles, qui éveilleront une multitude de phénomènes psychiques stimulant ainsi sa compréhension et enrichissant par la même occasion sa conscience.
En conséquence de ses expériences personnelles, l’être humain acquiert alors la capacité de raisonnement et de choix influant sa personne et son environnement.
Ainsi, il est possible d’avoir plus d’influence de par notre compréhension de l’existence et nos choix au lieu d’être influencé par notre environnement de par notre ignorance, nos indécisions ou notre soumission en opposition au courage et à la volonté qu’il faut pour combattre certaines influences.
Y a-t-il donc une limite à l’influence que peut avoir un être humain ?
Même si l’être humain a le choix, parfois il ne choisit pas ne serait-ce que de par les limites physiques de son corps ou de par son vécu qu’il n’aura pas forcément eu la possibilité de choisir, et c’est donc qu’une conscience supérieure et donc plus influente que la sienne aura choisi à sa place.
Ainsi, cette conscience supérieur deviendra en soi comme une singularité que l’être humain devra tenter de comprendre pour ainsi faire évoluer sa propre conscience et regagner sa capacité à avoir des choix influents pour sa personne et son environnement, ce qui revient à dire que l’être humain devra comprendre la logique derrière les aléas de sa vie pour ensuite choisir par exemple de les éviter ou non.
En conséquence, l’être humain aura toujours une compréhension et donc une influence limitée par les conséquences de celle-ci, d’où la faillibilité de l’homme car la justice existentiel n’agira pas en fonction de valeurs ou d’une certaine morale mais dans un souci d’équilibre.
Ainsi l’être humain ne peut choisir qu’entre deux solutions, l’une étant de se conformer à une certaine harmonie avec la causalité pour ne pas dire sa propre vie*, l’autre étant d’aller à son encontre.
Mais peut-on vraiment considérer la causalité comme une conscience ou une volonté ?
Oui, pourquoi devrait-on considérer le corps humain ou le cerveau humain autrement que mécaniquement ?
*ce qui ne veut pas dire être en harmonie avec notre société moderne, je tiens à le préciser.
edit: et la réponse est 42. lol
edit2:
« rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transmet » est plus adéquate.
Ecrit par noals, le Dimanche 14 Septembre 2014, 04:14 dans la rubrique previous articles.
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